Citations


Ce n'est pas ceux qui savent le mieux parler, qui ont les meilleures choses à dire.

Apprend à écrire tes blessures dans le sable, et à graver tes joies dans la pierre.

Le pessimiste se plaint du vent,
l'optimiste espère qu'il va changer,

le réaliste ajuste ses voiles.

Lorsque l'on voit la fureur du monde et la folie des hommes, on se dit qu'il y a urgence à créer

son propre espace de bonheur là, maintenant, tout de suite.

L'amitié est un accord parfait entre deux âmes, accompagné de bienveillance et de tendresse


Le meilleur aboutissement de l'éducation est la tolérance.  Helen Keller

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« Il y a trois sortes d'hommes: les vivants, les morts et ceux qui vont sur la mer. »  

Platon 
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C'est une erreur de croire nécessairement faux ce qu'on ne comprend pas.

Vis simplement pour que d'autres puissent simplement vivre.


La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents.   

Gandhi
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La voile est le moyen le plus lent, le plus cher, le plus inconfortable, pour aller d'un endroit où on est bien vers un autre où l'on n'a rien à faire.

“Naviguer est une activité qui ne convient pas aux imposteurs. Dans bien des professions, on peut faire illusion et bluffer en toute impunité. En bateau, on sait ou on ne sait pas.”

“Le temps se rétrécit ou semble s'accélérer à mesure qu'approche la date du but à atteindre.”

Naviguer, c'est accepter les contraintes que l'on a choisi. C'est un privilège. La plupart des humains subissent les obligations que la vie leur a imposé.
Eric Tabarly


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« Être seul en mer, choisir sa route, composer avec le vent et la vague en mesurant sa toile et fixant son cap, ne serait peut-être pas un plaisir complet s’il n’y entrait aussi un élément supplémentaire qui flatte un sixième sens, celui de la surprise. On ne s’ennuie jamais en mer puisqu'il  n’y a pas d’horaires, seulement des jours, des nuits, des aubes, des crépuscules, des méridiennes, qui se succèdent et reviennent si naturellement que la durée semble immobile. En mer, il n’y a pas de « temps morts » : c’est le temps qui est mort.
Ainsi les journées se datent et s’organisent dans notre mémoire au hasard des rencontres et la moindre d’entre elles est l'évènement. »

„On quitte le port, la côte, le bruit, la chaleur, les autres, la vie! On entre dans l'inconnu et le froid. Le courage a toujours été d'abord d'affronter le mystère. Si la nuit vient, c'est une seconde nuit à traverser. Et si on est seul, la solitude est une troisième nuit. Salut aux vainqueurs de la triple nuit.“

Jean Francois Deniaud


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Donnez à ceux que vous aimez des ailes pour voler, des racines pour revenir, et des raisons de rester.

Si vous avez l'impression d'être trop petit pour pouvoir changer quelque chose, essayez donc de dormir avec un moustique et vous verrez lequel des deux empêche l'autre de dormir.

Sème un acte, tu récolteras une habitude ; sème une habitude, tu récolteras un caractère ; sème un caractère, tu récolteras une destinée.

Ce qui me surprend le plus chez l'homme occidental, c'est qu'il perd la santé pour gagner de l'argent, et il perd ensuite son argent pour récupérer la santé. A force de penser au futur, il ne vit pas au présent, et il ne vit donc ni le présent ni le futur. Il vit comme s'il ne devait jamais mourir, et il meurt comme s'il n'avait jamais vécu.

Si vous le pouvez, mettez-vous au service des autres. Sinon, abstenez- vous de leur faire du mal.


Delaï Lama

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Toute la vie est une affaire de choix. Cela commence par : "la tétine ou le téton ?" Et cela s'achève par : "Le chêne ou le sapin ?"

L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui !

Les deux tiers des enfants du monde meurent de faim, alors même que le troisième tiers crève de son excès de cholestérol.

Les femmes n’ont jamais eu envie de porter un fusil, pour moi c’est quand même un signe d’élégance morale.

Le quadruple crime de Trifouilly-sur-mer éclairci : le meurtrier était un ami de la famille. On frémit à l'idée que ç'aurait pu être un ennemi de la famille.

Les animaux sont moins intolérants que nous : un cochon affamé mangera du musulman.

Comme le disait le général de Gaulle peu de temps avant de couler : « la vieillesse est un naufrage ». Et nous sommes tous sur le même bateau, mes frères. Et nous voguons insouciants, jusqu’au jour où le miroir nous renvoie les premiers signes avant-coureurs de la dégradation du temps.

On ne m’ôtera pas de l’idée que, pendant la dernière guerre mondiale de nombreux Juifs ont eu une attitude carrément hostile à l’égard du régime nazi.

On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère.

Comment tu vis l’intégrisme religieux ? "Ca me fait peur. Je parlais des gens qui courent derrière des drapeaux, ceux-là ils courent derrière des multitudes… Ça, ça me fait très peur. (silence) Déjà la CGT qui manifeste dans la rue j’ai peur, alors tu penses les mollahs.

La sagesse populaire, on connaît. C’est elle qui a élu Hitler en 33.

La seule conscience politique que j’ai, c’est de tenir à ne pas en avoir – pas du tout par lâcheté – c’est parce que je n’ai jamais pu m’apercevoir que la gauche était mieux que la droite que les rouges étaient mieux que les noirs.

Le cochon offre de nombreux points de comparaison avec un autre mammifère sans poils passé expert dans l’art de semer la merde et de se vautrer dedans.

Pierre Desproges


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Raoul (Bernard Blier)

Mais il connaît pas Raoul, ce mec ! il va avoir un réveil pénible. J'ai voulu être diplomate à cause de vous tous, éviter que le sang coule. Mais maintenant c'est fini, je vais le travailler en férocité, le faire marcher à coup de lattes ! À ma pogne, je veux le voir ! Et je vous promets qu'il demandera pardon, et au garde-à-vous !

Alors, il dort le gros con ? Ben il dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule ! Il entendra chanter les anges, le gugusse de Montauban… Je vais le renvoyer tout droit à la maison mère… au terminus des prétentieux…

Non mais t'as déjà vu ça ? En pleine paix ! Il chante et puis crac, un bourre-pif ! Il est complètement fou ce mec. Mais moi, les dingues, je les soigne. Je vais lui faire une ordonnance, et une sévère… Je vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon puzzle. Moi, quand on m'en fait trop, je correctionne plus : je dynamite, je disperse, je ventile !

(après avoir gouté le breuvage) Faut r'connaître… c'est du brutal !

Fernand (Lino Ventura)

J'ai connu une Polonaise qu'en prenait au p'tit déjeuner. Faut quand même admettre : c'est plutôt une boisson d'homme…

J'ai une santé de fer. Voilà quinze ans que je vis à la campagne : que je me couche avec le soleil, et que je me lève avec les poules.

Les cons, ça ose tout ! C'est même à ça qu'on les reconnaît.

Paul Volfoni (Jean Lefebvre)

Écoute : on te connaît pas. Mais laisse-nous te dire que tu te prépares des nuits blanches, des migraines, des nervousses brékdones (nervous breakdowns) comme on dit de nos jours.

Vous avez beau dire, y a pas seulement que d'la pomme… y'a autre chose… ça serait pas des fois de la betterave ? Hein ?

Maître Folace (Francis Blanche)

Seulement, le tout-venant a été piraté par les mômes. Qu'est ce qu'on fait ? on se risque sur le bizarre ?... Ça va rajeunir personne. (Il sort la bouteille)

 50 kilos de patates, un sac de sciure de bois, il te sortait 25 litres de 3 étoiles à l'alambic ; un vrai magicien le Jo. Et c'est pour ça que je me permets d'intimer l'ordre à certains salisseurs de mémoire, qu'ils feraient mieux de fermer leur claque-merde !

On a dû arrêter la fabrication, y a des clients qui devenaient aveugles. Alors, ça faisait des histoires !

Les Tontons Flingueurs  (un film français de Georges Lautner sorti en 1963, adaptation du roman d'Albert Simonin Grisbi or not grisbi. Les dialogues savoureux ont été écrits par Michel Audiard)


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Nicole : La prostitution est une usine que nous pouvons gérer nous-même puisque les machines c'est nous !

Lino : Aldo, est-ce que je t'ai déjà traité en patron ?
Aldo : Non, patron

Simon : Vous êtes démodés, je vais vous dire pourquoi. Parce que vous vous acharnez à chercher le fric dans les banques, mais c'est plus là qu'il est le fric.

Simon : Moi, en ce moment, je sais plus où donner de la tête. Je fais du tir au pigeon sur des PDG. C'est d'ailleurs assez marrant, parce que je tire sur des types de droite, je suis payé par l'extrême droite et c'est pour mouiller l'extrême gauche.

Simon : Aujourd'hui, le gagnant, c'est pas l'homme fort, intelligent, mais le petit, le petit combinard, celui qui sait manier le chantage comme une Winchester. Et surtout la confusion dans la clarté.

Jacques : Le chemin le plus court pour aller de la barbarie à la décadence passe par le civilisation.

Jacques : De Marx, nous avons surtout retenu la notion de capital…

Simon : Enfin, vous savez pas rester sans rien faire. Vous savez pas rien faire. Mais vous remettez en question la société des loisirs.

Jacques : La prochaine guerre, ça va être comme ça, tu vois. Tout va péter, puis on saura jamais qui a gagné.

Simon : Si la Commune de Paris a échoué, en 1871, c'est parce que les communards n'ont pas osé s'attaquer à la Banque de France. Là-dessus, tous les historiens sont formels.

La militante : Staline, né en 1870, mort en 1953. Il a dirigé la république des Soviets après la mort de Lénine en 1924. Et au prix de millions de morts. Imaginez un type qui n'a pas son permis et qui conduit une Ferrari à 300 à l'heure. Il écrase forcément dix personnes par jour. Staline, c'est pareil, c'est un chauffard de la révolution.
Le militant : Pour Trotsky, le prophète armé, la révolution est permanente. Staline l'a bien compris, il l'a même trop bien compris : il est allé le faire tuer au Mexique !

L'aventure c'est l'aventure est un film français de Claude Lelouch réalisé en 1972.



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Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns.

Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer et d'oublier ce qu'il faut oublier. Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences.

Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil et des rires d'enfants.

Je vous souhaite de respecter les différences des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir.

Je vous souhaite de résister à l'enlisement, à l'indifférence et aux vertus négatives de notre époque.

Je vous souhaite enfin de ne jamais renoncer à la recherche, à l'aventure, à la vie, à l'amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille.

Je vous souhaite surtout d'être vous, fier de l'être et heureux, car le bonheur est notre destin véritable.

Je crois que Dieu, ce sont les hommes et qu'ils ne le savent pas.

L'humour est la forme la plus saine de la lucidité.

Moi je t'offrirai Des perles de pluie Venues de pays Où il ne pleut pas.

Le grand Jacques
Jacques Brel, né le 8 avril 1929 à Schaerbeek et mort le 9 octobre 1978 à Bobigny, est un auteur-compositeur-interprète, poète, acteur et réalisateur belge.



L'humour Nantais... Etant ancien propriétaire de Muscadet et d'Armagnac, j'adore.





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